La consultation
#LeJourdAprès consultation
Obligation pour l'entreprise > 100 salariés à la formation
A l'ère où on parle de changer de métier comme on change de voiture tout les 5 ans, il faut aussi en acquérir les compétences.
On nous vend le CPF, les "stages" etc de quelques jours qui sont loin d'être suffisant pour acquérir un nouveau métier.
Les formations diplômantes et ouvrant sur des compétences de cadres, d'ingénieurs BTS et professions supérieures deviennent inaccessibles dès lors que l'on est entré dans la vie active.
Il faut mettre en place un système basé sur la progression du salarié depuis la base jusqu'au plus haut niveau, là où l'entreprise le faisait il faut désormais réinstaurer l'obligation et non plus le dédouaner par des système complètement inefficace.
Pour l'entreprise elle se verrait dans l'obligation de veiller à la formation de son personnel d'au minimum 5 à 10% de son personnel par an à un niveau supérieur ou une formation au choix du salarié, en rapport ou nom avec le champ de l'entreprise). Si la formation ne correspond pas au choix de l'entreprise:
1.l'entreprise peut s'y opposer au cas où la formation pourrait compromettre immédiatement son activité (départ du seul chef comptable par exemple) et y suspendre tant qu'un autre personnel au même niveau de compétences puisse éventuellement suppléer a ce départ.
2.l'entreprise ne peut pas s'y opposer si un autre personnel peut suppléer ce départ, d'un niveau équivalent ou supérieur.
Par ce système , l'employé
saura progresser et s'investir au sein de son entreprise s'il le désire
pourra s'il choisit des compétences similaires à d'autres salariés s'assurer une mobilité inter entreprise et une sécurité d'emploi
pourra choisir une stratégie d'évolution de carrière.
Financièrement, l'entreprise s'y retrouvera toujours car l'investissement du salarié sera au rendez vous car il se sentira reconnu, considéré et redevable. L'environnement de travail est connu donc la culture de l'entreprise déjà acquise avec une efficience optimisée car la c'est la vie de l'entreprise qui primera.
C'est en quelque sorte un retour a la vision familiale, mais qui a fait ses preuves.
En contrepartie, l'employeur devra s'engager a ne pas licencier son employé s'il s'engage a rester dans l'entreprise pendant une certaine durée (reciprocité loyauté) sauf manquement grave. Lui rendre son autonomie totale si la rupture venait à l'initiative de l'employeur sans remboursement de la réciprocité.
le salarié devra s'engager a rester à la disponibilité de son employeur le temps de son engagement réciproque. S'il met fin a son engagement ET que la formation offerte n'est pas en lien avec son activité professionnelle, s'engager à devoir une contrepartie à convenir avec l'employeur (remboursement, partenariat, abrogation des bénéfices d'interessement,ancienneté etc...)
Bref, cela permettra en permanence, l'évolution et le renouvellement des compétences du personnel par intégration des nouveaux personnels et remplacement des anciens, transfert des compétences et de l'histoire de l'entreprise, par l'ancienneté mais aussi le choix de pouvoir changer de carrière sans à avoir à tout remettre en question au niveau social.
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