La consultation
#LeJourdAprès consultation
Partager le travail : un nouvel art de vivre
Devant la raréfaction du travail due entre autres au développement de robots informatiques ou de la numérisation des données qui remplacent la présence humaine, et qui laisse place au chômage et à la souffrance de la précarité qu.il implique, et ce dans tous les domaines d activités que ce soit la manutention, les banques, etc, il va de soi qu.il nous faudrait mieux partager le travail. Pourquoi ne pas envisager un modèle sociétal complètement nouveau qui maintiendrait bien sûr un travail rémunéré mais énormément restreint en terme de temps. Je propose un 24 heures par semaine cad trois jours consécutifs au choix entre le lundi mardi mercredi ou jeudi vendredi samedi ce qui augmente d.une part l.amplitude actuelle habituellement travaillée du lundi au vendredi. Donc accroissement de l.activité économique. Ce nouveau plein temps de 24h contre 35 heures actuelles resterait rémunéré sur la base d.un plein temps. Deux questions alors ? Mais où trouver l.argent et que faire de tout ce temps libre ? A la première question nous pouvons donner des pistes pour ce savant calcul. Si nous additionnons ce que coûte à notre société les coûts sociaux du chômage et des frais décuplés de formation, de reconversion professionnelle qui vont avec et qui sont colossaux, si l.on rajoute à cela les coûts des crédits d.impots pour le service à la personne garde des enfants, accompagnement de nos aînés, etc, le calcul pourrait peut-être être surprenant. Car il ne faut pas oublier l.essentiel de ce projet : le plein emploi car il faudrait doubler nos mains d.oeuvre partout, d.où une diminution drastique du chômage, et un renversement du pouvoir du côté des salariés en cas de flux tendu de la main d.oeuvre. Plus de travailleurs veut dire aussi plus d.impots pour remplir les caisses de l.état. Cela est pour l.aspect financier. Pour l.autre aspect, que faire de tout ce temps libre qui bousculerait notre quotidien ? Avoir plus de temps pour : mieux profiter de nos vies de famille et ainsi être plus présent pour l.education de nos enfants, mieux accompagner nos personnes âgées, pouvoir davantage s.investir dans la vie associative et accroître ainsi notre cohésion sociale, utiliser ce temps pour des loisirs divers et utiles pour soi ou pour les autres comme par exemple parfaire son autonomie alimentaire en cultivant son potager, découvrir l.art, la musique, la lecture, la vie sociale...etc. S.enrichir l.esprit pour mieux penser sa vie ! Amener du bonheur à chacun et éradiquer la misère sociale ! Ne peut on se pencher sur cette utopie qui n.en est peut-être pas une !
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