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Mieux évaluer et interdire les perturbateurs endocriniens
Version 1
(de 1)
Référence : ja-PROP-2020-04-6370
Les dispositifs permettant d'évaluer les perturbateurs endocriniens sont insuffisants. On sait par exemple qu'il a fallu trop de temps pour établir la toxicité du bisphénol A et que le Bisphénol S qui le remplace est pire, mais pas encore interdit. Il faut donc allouer plus de moyens technique et humains aux labos en charge de leur évaluation, et faire cesser l'indécent lobbying des firmes de la chimies contre ces mesures
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