La consultation
#LeJourdAprès consultation
Socialisation de la santé
Parce que la santé est un bien commun, elle doit appartenir à tous.
Sur le modèle des universités qui possèdent un centre de médecine préventive, tous les médecins doivent être fonctionnarisés.
Il faut créer des Maisons de Santé Publique qui réunissent les différentes professions. Pour ce faire, il faut que tous les praticiens soient fonctionnaires avec un salaire fixe pour que la santé ne soit plus soumise aux intérêts et à l'enrichissement.
Bien sûr, cela passe par déchoir les fondations et cliniques privées afin que ces centres de soins deviennent publique. Pour ce faire, les patrons de ces centres doivent être expropriés.
Pour une santé ouverte à tous, il faut pouvoir s'assurer que les dépassements d'honoraires soient interdits.
La protection sociale doit être améliorée pour prendre en charge à 100% les frais dentaires, les frais ophtalmiques, etc.
Il faut aussi reprendre en main la production des traitements allopathiques (médicaments).
Cela passe aussi par l'expropriation des laboratoires pharmaceutiques et par la relocalisation de toute la production de médicaments.
Une santé qui s'adresse à tous, afin de rattraper le retard des désengagements antérieurs, nécessite un investissement massif dans la recherche pour créer des traitements pour les maladies rares qui ne sont pas génératrices de bénéfices.
Pour financer ces mesures, tout le monde doit être mis à contribution, les grandes entreprises doivent être mis à l'effort un peu plus pour que cela ne pèse pas sur les plus précaires et les plus fragiles.
Les entreprises cotées en bourse qui fraudent fiscalement doivent être lourdement sanctionnées. Ces grandes entreprises doivent être dissuadées. Pour ce faire, si les services de Bercy ou le parquet national financier poursuivent en justice une de ces entreprises, le juge peut décider, s'il juge que des preuves solides sont réunies, que l'entreprise soit frappée d'incapacité pendant toute la durée de la procédure judiciaire. C'est à dire que l'entreprise n'ait plus le droit de produire en France pendant toute la durée des poursuites.
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