La consultation
#LeJourdAprès consultation
Allier les pratiques médicales et paramédicales
Nuancer d’approche vis-à-vis des patient.e.s : reconnaître avec humilité que chaque patient sait/sent ce qui est bon pour lui ou pour elle. Rendre à chacun.e sa responsabilité.
Arrêter d’infantiliser les personnes, rassurer les patient.e.s sur la force de guérison qu’ils et elles ont déjà en eux, redonner leur place aux patient.e .s dans leur processus de soin.
On sait déjà que l'aspect psychologique d'une maladie est considérable : ce que la personne perçoit de sa maladie et comment elle arrive à trouver les moyens de se guérir et de s'approprier les outils proposés par les médecins (traitement).
A ce sujet : Bruce Lipton, La biologie des croyances
Penser une santé globale : la santé physique, émotionnelle et mentale. Prendre en compte ces dimensions de l’être humain c’est aussi prendre soin de nous en alliant d’autres techniques, et en légitimant ces techniques que nous ne comprenons pas toujours mais qui "font du bien".
Accepter que la médecine allopathique puisse être accompagnée d’autres pratiques, notamment à l’hôpital, même si on n’arrive pas encore à expliquer scientifiquement les bienfaits de ces pratiques non conventionnelles. C’est le cas notamment des coupeurs et coupeuse de feu qui sont appelé.e.s par des infirmières et infirmiers. Se libérer de l’enclave du scientifiquement prouvé avec humilité.
Ce qui revient à allier les pratiques : médecine chinoise, coupeur et coupeuse de feu, naturopathie, sophrologie, …
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