La consultation
#LeJourdAprès consultation
Réglementer et faire respecter les conditions d'accès à l'immigration
Limiter l'immigration légale (acceptée) au "droit d'asile politique" (protection de l'individu) et aux secteurs en pénurie (recrutement de compétences) et condamner les entrants illégaux au retour et au "banissement" (interdiction de retour sous peine d'emprisonnement immédiat).
Soumettre l'immigration à l'acceptation de conditions d'accueil connues dès l'arrivée sur le sol, à savoir :
Toute demande d'asile doit se faire dans le pays d'origine (à l'ambassade, au consulat ou une structure spécifique) et être acceptée avant arrivée sur le Territoire, sous peine d'être considérée comme une immigration illégale et traitée comme telle.
Acceptation d'un contrat d'accueil, précisant les conditions d'assimilation : aide financière plafonnée et limitée en durée (temps nécessaire à occuper un emploi, en acceptant une affectation en fonction de la capacité d'intégration, car ce n'est pas à l'immigrant de décider où il veut aller), obligation de trouver une place contributive dans la société dans un délai donné, ce qui implique de maîtriser le français, respect des valeurs et des règles de vie, notamment de laïcité, absence de délit durant 5 ans, etc.. sous peine d'expulsion.
N'octroyer aux entrants les aides et couvertures sociales d'Etat (Sécu, CMU...) normalement prévues pour les citoyens français qu'après une période de X années de contribution par un travail donnant lieu à cotisations et impôts (mesure à appliquer aux expatriés, donc non xénophobe) : un droit résulte d'un devoir et d'une contribution préalable
Signaler un problème
Ce contenu est-il inapproprié ?
Partager: