La consultation
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Du confinement à la captivité: la fin des animaux-objets
L'expérience que nous vivons à présent ne peux que nous pousser à nous interroger sur la valeur de la liberté d'évoluer, la liberté de disposer de nos corps et la liberté de choisir nos vies.
Depuis de nombreuses années nous constatons une évolution de la recherche sur la santé mentale animale . Nous reconsidérons les animaux et de nombreuses décisions ont été dans ce sens, les inscrivant notamment en tant qu'êtres sensibles.
cf. Article L. 521-1 du Code pénal modifié par l’ordonnance n° 2006-1224 du 5 octobre 2006
Compte-tenu de l'expérience que nous vivons tous actuellement, il me semble désormais inhumain de considérer que le confinement auquel nous soumettons de nombreuses espèces de manière constante puisse sembler logique voire normale.
Le gouvernement précédant avait légiféré afin de mettre fin au programme de reproduction des delphinidés en captivité, démarche qui n'a pu voir le jour sur décision du Conseil d'Etat.
Je propose de reprendre cette démarche et de la porter à son terme en l'élargissant à la fin des programmes de reproduction des mammifères en captivité dans le domaine du spectacle et du divertissement. La reproduction étant limitée à survie des espèces en danger et à l'étude de celles-ci.
Une requalification des parcs est possible, en leur donnant un rôle de soin pour les espèces échouées, ou saisies, et en transformant les parcs en refuge comme c'est le cas à LA FLECHE (72) ou à Océanopolis, BREST (29)
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