La consultation
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Coopération internationale
Dans cette crise sanitaire les questions de coopération internationales devraient enfin massivement être perçues comme légitimes et la menace devrait replacer la stratégie de la communauté internationale dans un mouvement historique décisif. Malgré son manque de moyens matériel, l'évidence s'impose de s'accorder sur le fait que l’ONU est l'interlocuteur le plus crédible pour organiser les réorientations des activités humaines cohérentes avec la situation. La seule institution avec laquelle il est possible de s’accorder sur l’analyse, les objectifs et les besoins tel que formulé dans les Objectifs du développement Durable. Cela apparait dans l’appel au cessé le feu mondial et à la satisfaction des besoins humains du Secrétaire Général.
Cette prise de conscience nécessite de se traduire en proclamations pour exiger les moyens financiers en adéquation avec cette ambition afin de rétablir la confiance dans son rôle de coordination de la coopération internationale. Pour cela il est indispensable de faire confiance à l’ONU et la sortir du sous financement qui la maintenez en situation de dysfonctionnement chronique par rapport aux objectifs du développement durable et à la perception que tout un chacun pouvait en avoir depuis sa création.
Le budget des institutions internationale et de la coopération internationale est un sujet crucial. Les programmes de coopération internationale doivent urgemment être financer et tout le monde en est conscient face aux premiers effets du dérèglement climatique ; 500 milliards annuel pour financer la sécurité sociale universelle et la solidarité internationale ainsi que la lutte contre le dérèglement climatique à travers l’aide à la réalisation des 17 ODD. Un financement fiable et non soumis au vote annuel des contributions des états par leurs délégations constituant un chantage permanent stérilisant nombres de débats opérationnels. Cette mise en place est indispensable pour établir la confiance nécessaire des peuples et des acteurs sociaux-économiques prêt à travailler sur les critères des Objectifs du Développement Durable ; 500 Milliards annuel c’est ¼ des dépenses mondiales d’armement. En cohérence avec la charte et en rupture avec son fonctionnement depuis sa création l’assemblée générale pourrait voter l’établissement d’une taxe internationale de 25% sur les budgets militaires et les ventes d’armement pour récolter le financement nécessaire.
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